La mutation de l’homme En 1999, Bers réalise un tableau : "l’époque pré mutation" . C’est le premier jalon d’un travail sur la mutation de l’homme. |
| Né à Ipamu le 16 août 1955(dans le Bandundu, République Démocratique du Congo). Vit en Belgique depuis 1985. Bers Grandsinge fait partie des artistes Contemporain Congolais qui s'installent en Belgique pour défendre l'art Contemporain congolais, sous les conseilles de Jean Michel Basquiat et Franco Le nom d'artiste : En 1985, dans son atelier de la 125 ème rue à Harlem, le peintre new-yorkais Franco présente Bers à Jean-Michel Basquiat. Ils parleront d'art, de l'histoire de l'homme noir et de l'Afrique. C'est Jean-Michel Basquiat qui conclura la conversation en appelant Bers le plus grand singe d'Afrique. Le surnom de " Grandsinge" lui est resté. FORMATION ARTISTIQUE Ecole Primaire à Mangai (République Démocratique du Congo) Humanité artistique à Kananga (République Démocratique du Congo) Académie des beaux-arts de Kinshasa (république Démocratique du Congo ) PRESENTATION DE L’ARTISTE BERS GRANDSINGE est par mis le premier artiste Congolais qui s'installe en Belgique pour défendre l'art Contemporain congolais, sous les conseils de Jean Michel Basquiat et Franco. En 1985, dans son atelier de la 125 rue à Harlem, le peintre new-yorkais FRANCO présente Jean Pierre BERS à Jean-Michel BASQUIAT. Ils parleront d’art, de l'histoire de l'homme noir et de l'Afrique. C'est Jean-Michel BASQUIAT qui conclura la nversation en appelant BERS le plus grand singe d’Afrique. Le surnom de " GRANDSINGE " lui est resté. Bers Grandsinge, vrai contemporain (africain) au travers de sa propre optique conceptuelle. Grandsinge l'artiste aux facettes multiples est un passionné de l'art. Une créativité intarissable, plasticien, photographe, dessinateur textile, art numérique et musicien, un touche à tout qui exprime un réel talent. Une œuvre présentée à maintes reprises en Europe et aux Etats-Unis, Harlem Street Gallery Internationnal, la galerie Sabine Wachters Fine Arts (Bruxelles – Knokke) passant aussi par quelques institutions nationales, Tervuren, Iselp, le Palais de Justice, le Palais des Beaux Arts de Bruxelles etc … Les créations du Grandsinge national ont parcouru le monde et vu du pays depuis l'article du journaliste Marc Metedepennigen paru dans le journal le Soir (juin 1988) intitulé "Avis de recherche et découverte d'un scrutateur d'âme africain, … un artiste zaïrois très recherché pour son talent et par l'administration …", en effet, le jour même de son arrivée dans l'arène artistique bruxelloise, l'artiste fut frappé d'un ordre de quitter le territoire … Un artiste véritable qui se détache de tout mouvement culturel et se distingue par son art exprimé au travers d'un réel talent. Les thèmes de Bers tournent autour de la personne humaine, de son mystère et de sa destinée. Bers travaille aussi sur des thèmes tels que l’environnement, l’actualité et l’avenir de l’humanité. Un exemple de thème : la mutation de l’homme En 1999, Bers réalise un tableau : "l’époque pré mutation" . C’est le premier jalon d’un travail sur la mutation de l’homme. Lorsque l’être humain aura atteint son apogée - dans une époque future - il prendra conscience de son possible déclin et des causes prévisibles de celui-ci. Il mènera alors une réflexion sur la sauvegarde de l’espèce humaine. Dans cette période de pré mutation, l’être humain réalise que son avenir dépend de la faculté qu’il aura de muter pour s’adapter à l’environnement terrestre futur ou à la vie sur une autre planète. L’homme change alors son patrimoine génétique : c’est alors l’époque de la mutation. L'époque de mutation deviendra ainsi le thème d'une installation en 2000. L'œuvre : Mouvements et couleurs sont intimement liées dans l'œuvre de Bers. La palette est faite de couleurs acides assemblées harmonieusement afin de ne jamais agresser l'œil ou de teintes chaudes (tons dorés de miel et de cuivre ) ou végétales. Bers nous donne à voir des compositions chatoyantes, exubérantes, mettant en scène des personnages dans des danses que l'on peut imaginer rituelle sur fonds d'une musique rythmant leurs mouvements et l'œuvre elle-même. Les personnages sont des humains aux silhouettes filiformes à la plastique négroïde, plastique à la fois souple, harmonieuse et animée. Bers d'ailleurs privilégie ces silhouettes comme thème : il peint rarement de paysages et d'animaux. Les lianes, ces entrelacs de coulées qui ornent le fonds accentuent l'impression de mouvement et de vie des personnages en les reliant entre eux et en donnant présence aux gestes.
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