Je m'appelle Sandra Martinez alias Sarah Artin's vieux nom fabriqué en Ce1 lors de mes premiers dessins,je suis née en Avignon en 1978 dans le sud de la France. Ma famille n'est ni pauvre ni riche ma mère est comptable mon père soudeur je suis élevée plus qu ' éduqué par ma grand mère maternelle qui a fuit l’Espagne très tôt je veux créer des habits je réunis les élèves de ma classes pour choisir les modèles de vêtement qui leurs plaisent je les met en scène, à ce moment là Sarah Artin's, apparaît Martinez est un nom si commun autour de mon petit monde c'est mon qui m'apprend qu'un couteu ne se taille pas avec un taille crayon lui qui est née à est albacette le sait très bien il dessine lui même de temps en temps.. la vision des élèves aux gestes si mécanique dans les salles obscures des beaux arts d'Avignon ne me tente pas, pas plus que ce qui m'est proposé. je veux être styliste c'est un besoin féroce, Dessiner ? je ne sais faire que ça ...et ce qui devait être une grâce devient une disgrâce.. créer …...mon institutrice me le répétait souvent tu as l'imagination plus fertile que...que les montagnes de tel ou tel endroit. mon rapport à l'image était lui aussi particulier, je n'ai jamais supporter plus d'une semaine les affiches qui décore les chambres des jeunes ados pubères boys band et autres images « culte »adulées par les filles de ma classe .Mes posters finissent tous déchirés j'aime détruire et reconstruire, je suis fasciné par les premier clip musicaux qui retentissaient en moi plus vivant plus parlant que toutes les émotions humaines qui m'entouraient à l'époque. j'irais au cours Florent grâce à l'argent gagné en faisant du théâtre de rue du pantomime nous obtenons un contrat à Vevey en Suisse puis sur Paris près de Montmartre. Le Cour Florent est une période d'apprentissages extrêmement bénéfiques pour explorer mes acquis et les développer j'écris des pièces de théâtre, je dessine les mises en scènes, et j’apprends le jeu d'acteur et la mise en scène , sauf que je suis trop sensible pour le jeu d'acteur, je suis politiquement incorrect pour l'écriture, sauf que je n'ai plus les moyens de finir mon année.. je ne trouve pas d'emploi j'ai faim, je vis dans une superbe résidence en collocation avec un acteur de grand talent, je me retrouves à la rue.Je vis sur Montmartre ou de temps en temps j’essaie de travailler en tant que serveuse.... 1 semaine par ci trois jours par là j'observe les peintres portraitistes nous allons boire, faire la fête leur train de vie est rude beaucoup sont en mal de vivre, la concurrence est infernale c'est un vrai bisness à qui fera le plus de portrait, à qui peindra le mieux, le plus vite ! et surtout à qui reviendra la palme du plus grand ego, rares sont ceux qui se distinguent par une touche personnelle toutes ces toiles se ressemblent. Ils sont aigris, lessivés , entre un service et une peinture je visite les galeries parisiennes et les expositions.Une rencontre avec un célébré peintre Japonais provoquera le déclic qui me ramena ra vers le chemin de la peinture,il me fit comprendre que l'art n'est pas à Montmartre ou que l'art n'est pas qu'a Montmartre que l'art se trouves en chacun de nous je sentis dans son regard que je n'était pas là par hasard et lui non plus je venais devoir son exposition au palais des papes en Avignon...... A mon retour dans le sud de la France je repris encore des cours pour me rassurer certainement . cours aux beaux arts d'Avignon, cours de sculpture à Tarascon, cours de dessin à Avignon une boulimie.... et je me mis à exposé mes travaux dans les restaurants...je devais confronter mes visuels aux regards du public. Mes premières créations furent exposés chez art et gourmet et au Jardin de Latour aujourd'hui je crée dans mon atelier à Saint rémy de Provence et je continue à exposer un peu partout. |