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Galerie Jürgen Ehre - Oeuvres de Jürgen Ehre

Galerie Jürgen Ehre - Oeuvres de Jürgen Ehre

"Biographie Jürgen Ehre est né à Cassel , dans la Hesse, en 1941. Diplômé comme décorateur et graphiste, il travaille à Cassel jusqu’en 1962 comme graphiste puis illustrateur. Il découvre le théâtre avec le décorateur scénique et costumier Lothar Meller 1 , 2 ], venu de Berlin à Cassel, accompagné de la cantatrice Hanna Gorima 3 avant la capitulatio"

Documents
 Jürgen EHRE artiste plasticien: Künstler   Biographie et parcours artistique/ Introduction et reflexion sur ma peinture
Jürgen Ehre
Jürgen Ehre
Oeuvres exposées le
Ajouté le 8 septembre 2018
Ajouté le 16 novembre 2017
Ajouté le 13 novembre 2017
Ajouté le 3 mai 2017
Ajouté le 15 octobre 2016
Ajouté le 16 avril 2015
Ajouté le 18 octobre 2014
Ajouté le 26 septembre 2014
Ajouté le 25 septembre 2014
Ajouté le 1 juin 2014
Ajouté le 2 septembre 2013
Ajouté le 1 septembre 2010
Ajouté le 1 octobre 2009
Médias Oeuvres
Thèmes Oeuvres
Styles Oeuvres
Dimensions
Oeuvres de 1 à 25 (sur 31 au total)


La rose noire

Hauch

Le gant

Lambeaux de souvenirs 1

ATEM

Bird

Gasmaske

La robe rouge

Love

Via Maqueda

Weisse Masken GOLD

EX-VOTO Maske und Vogel

EX-VOTO GOLD 750 EHRE

EX-VOTO 703 Rotes Tuch

Kreuz und Feder

EX-VOTO 983

Schweisstuch

Wolf und Kreuz

Frontispice du KATALOG Jürgen EHRE de 1963 à 2009

à l'ombre d'un amplificateur d'images 1975

Grand Tigre et Radiographie 1975

BIRDS

Corps d'OR

Coeur Ludique

Kantate





 Jürgen EHRE artiste plasticien: Künstler
Biographie et parcours artistique/ Introduction et reflexion sur ma peinture
[Page - Jürgen Ehre - 3Ko - 2015]


Biographie  

Jürgen Ehre est né à Cassel, dans la Hesse, en 1941. Diplômé comme décorateur et graphiste, il travaille à Cassel jusqu’en 1962 comme graphiste puis illustrateur. Il découvre le théâtre avec le décorateur scénique et costumier Lothar Meller1,2], venu de Berlin à Cassel, accompagné de la cantatrice Hanna Gorima3 avant la capitulation et l’occupation russe de la ville de Berlin. Jürgen Ehre décide de quitter l’Allemagne à 22 ans.

Il s'installe à Paris en février 1963 et s’inscrit à l'École nationale supérieure des beaux-arts jusqu’en 1967. Là, il travaille dans l’atelier de taille douce et d’eaux-fortes de Jean-Eugène Bersier, maître graveur et avec Lucien Coutaud en gravure puis avec Pierre-Eugène Clairin en lithographie. Après s’être perfectionné dans cette spécialité dans l’atelier de Georges Dayez, Jürgen Ehre commence à exposer ses gravures et ses peintures.

Dès 1968, Jürgen Ehre s'oriente dans la polychromie avec « Figuration Critique » et le groupe d’artistes « Les Baliseurs ». S'ensuivent de nombreuses expositions : Paris (Salon des Grands et Jeunes, Salon de Mai, Salon de Montrouge, etc.), Angleterre (Biennales de l’estampe), Slovénie, France, Belgique, Suisse, États-Unis et l’Allemagne encore.

En 1970, Maurice Allemand4 inspecteur principal de la création artistique et conservateur du musée d’art moderne de St. Étienne, voit le travail de Jürgen Ehre et lui obtient l’attribution d’un atelier de la Ville de Paris. Une première acquisition d’une de ses toiles par le Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1970 Contrôle d’une hypophyse athée, suivi d’une acquisition de la toile Totems et oiseau en 1986 et d’un grand dessin sur canson 110 × 75 cm Grand singe et colombe.

[Biography - Jürgen Ehre - 7Ko]


 

Jürgen Ehre


Biographie
 

Jürgen Ehre est né à Cassel, dans la Hesse, en 1941. Diplômé comme décorateur et graphiste, il travaille à Cassel jusqu’en 1962 comme graphiste puis illustrateur. Il découvre le théâtre avec le décorateur scénique et costumier Lothar Meller1,2], venu de Berlin à Cassel, accompagné de la cantatrice Hanna Gorima3 avant la capitulation et l’occupation russe de la ville de Berlin. Jürgen Ehre décide de quitter l’Allemagne à 22 ans.

Il s'installe à Paris en février 1963 et s’inscrit à l'École nationale supérieure des beaux-arts jusqu’en 1967. Là, il travaille dans l’atelier de taille douce et d’eaux-fortes de Jean-Eugène Bersier, maître graveur et avec Lucien Coutaud en gravure puis avec Pierre-Eugène Clairin en lithographie. Après s’être perfectionné dans cette spécialité dans l’atelier de Georges Dayez, Jürgen Ehre commence à exposer ses gravures et ses peintures.

Dès 1968, Jürgen Ehre s'oriente dans la polychromie avec « Figuration Critique » et le groupe d’artistes « Les Baliseurs ». S'ensuivent de nombreuses expositions : Paris (Salon des Grands et Jeunes, Salon de Mai, Salon de Montrouge, etc.), Angleterre (Biennales de l’estampe), Slovénie, France, Belgique, Suisse, États-Unis et l’Allemagne encore.

En 1970, Maurice Allemand4 inspecteur principal de la création artistique et conservateur du musée d’art moderne de St. Étienne, voit le travail de Jürgen Ehre et lui obtient l’attribution d’un atelier de la Ville de Paris. Une première acquisition d’une de ses toiles par le Musée d'art moderne de la ville de Paris en 1970 Contrôle d’une hypophyse athée, suivi d’une acquisition de la toile Totems et oiseau en 1986 et d’un grand dessin sur canson 110 × 75 cm Grand singe et colombe.

Œuvre  

Jürgen Ehre utilise les matériaux-symboles les plus insolites, tendance analogue à Anselm Kiefer, proche de Joseph Beuys. En juillet 1985, avait paru dans la revue Magazine littéraire no 2215 une illustration de Jürgen Ehre sous le titre La littérature et l'exil.

Il participe à l’association créée par Catherine Importuna6 : Nzemmula (ensemble en sicilien). Il fait la mise en scène et le décor des spectacles, crée des marionnettes, inspirées par des “pupi” siciliens traditionnels qu’il a pu voir dans l’atelier du marionnettiste, (“puparo”) Mimmo Cuticchio (it), à Palerme (Sicile). Suivent alors des spectacles de Paris Théâtre de la Fenêtre- Paris 11è7, à Orange en passant par l’entrepôt pendant le festival d’Avignon en 2007 et ailleurs8



[Biography - Jürgen Ehre - 12Ko]


 
 

JürgenEHRE… La période  « OR » 2014

 

Les fils conducteurs étaient déjà présents dans les toiles « aux fonds noirs » faisant vibrer et amplifier les images. Depuis, ces fils dorés (peints encore) se sont matérialisés…prendre vie sur la toile en illuminant le fond doré qui désormais émerge des ténèbres, métallique et lumineux … Les éléments ont trouvé leur place sur la nouvelle scène ludique et luxurieuse où la vie se cache derrière le masque théâtral de la mort raillant l’apparition prophétique du dérisoire, contenu dans ce souffle haletant, crépitant et frémissant sous forme de nouveaux« conducteurs » ; Les acteurs apparaissent pour la dernière pièce à jouer. Les costumes, robes, animaux, masques, tissus et osselets, dictent leur loi, ils sont de retour se jetant avec avidité dans le rôle donné.

Celui de faire vivre différemment, de le rendre plastique, plus présent. Par- ci, par-là, des cris se manifestent en couleurs, sourdes ou riches, phares dans la nuit aveugle… le rouge est toujours le sang, et les battements du cœur. Le jaune incarne l’esprit… chacune trouve sa signification… Le derme devance le toucher, la plume tressaille de vie renaissante spontanément, les miroirs brisés reflètent le passé, et l’or amène le futur à travers des végétaux stylisés. Les murmures retiennent leur voix pour s’unir en chœur…

Le rideau se lève sur le théâtre de la peinture, une vie soumise au rythme des contrastes s’enrichissant de multiples couleurs absentes, dont seule l’intensité compte.

L’or est le reflet de ce métal où sont gravées les images intransigeantes qui surgissent, afin de se jeter en avant de la scène,  allumant la flamme qui se consume dans sa lumière… sur l’espace inexploré de la tragédie à la farce… comme un tambour à moitié ivre bat la caisse à la tête du cortège… tantôt dépouillé à l’extrême,tantôt gorgé de signes qui fondent sous un même souffle le grotesque et lesublime… le terrible et le bouffon, dans le langage théâtral…

Entre le « macabre » et le baroque, la jubilation de la métaphore, les bases d’un  théâtre fantastique sont jetées… à moins quele rideau ne tombe et le métal se répande alors seul… à s’étaler majestueusement, mystérieusement, transportant des vagues de réminiscences entre le rêve et la veille… en s’illuminant d’or !

 

Jürgen Ehre-Paris  02 septembre 2014


[Biography - Jürgen Ehre - 5Ko]


 

 

Jürgen EHRE

Artiste plasticien/Künstler

 

Né à Kassel, Allemagne, en 1941

Études de décoration, arts graphiques, décor scénique.

Depuis 1963 réside à Paris

1963-1967 études à l'Ecole Nationale Supérieure des BEAUX-ARTS, Paris :

Peinture, Lithographie, Gravure Atelier : Profs. Jean E. Bersier, Lucien Couteaud,

Eugène Clairins, Georges Dayez.

Malerei, Steindruck, Kupferstich

Réalise de nombreuses expositions en Europe, participations en Angleterre, USA, Asie.

Collections Achats :

Musée d’art Moderne de la Ville de Paris : 1970/1986

Bibliothèque Nationale de Paris, Cabinet des Estampes : 1970

F.N.A.C Ministère des Affaire culturelles, Paris : 1972

Musée d’Ixelles, Bruxelles, Belgique : 1972

California College of Arts and Crafts : 1972

Ville de Paris : 1977

Collections privées en France, Suisse, Allemagne, USA, Israël, Japon, Danemark, Hollande, Italie

 

L'artiste, dans son oeuvre au cours de son travail, est passé par différentes périodes.

La Période NOIRE :

La première, allant de 1963 à 1980, nous montre dans ses débuts des formes ou entités abstraites se transformant lentement pour apparaître, projetées, sur un écran noir, la toile, servant de fond d'analyse aux corps en état de "gestation" afin de les cristalliser comme radiographiées.

Un monde inquiétant de formes humaines et animaliers dans un univers symbolique où, confronté au miroir du temps, elles témoignent de leur existence par une représentation lumineuse, transparente, presque irréelle qui interroge !

Compositions et formes abstraites légèrement transparentes en blanc sur écran noir qui constitue la toile, telle une radiographie.

Evolution de ces formes abstraites donnant naissance aux formes d’êtres, corps humains et animaliers.

 

La Période BLANCHE :

À partir de 1980, se chevauchant jusqu'à 2000, la clarté surgit.

Les éléments se transforment, prennent un autre aspect comme immortalisés à jamais, rayonnant de souvenirs, d'images et de concepts dont la pureté et la blancheur est inspirée de Palerme. Ville sombre et magique, majestueuse d'impressions étranges chargées de mystères et de profondes réminiscences, pénétrées de dévotion et de violence dont l'artiste, au cours de ses voyages, s'est imprégné en relevant le défi de s'en laisser porter et s'inspirer pour son travail.

Travail sur blanc exclusif, utilisant des matériaux divers accumulés : peinture sur tissu blanc et collage d’objets tels le bois, fers, verre et cendres, miroirs, roses séchées, masque à gaz, plumes, donnant l’impression d’un linceul de réminiscences.

 

La Période ROUGE :

À partir de 2000 jusqu'à 2008, s'opère un changement, ou plutôt une évolution.

Le Blanc cède sa place au Rouge !

Rouge comme le sang, lourd de signification, rouge comme le coeur, pulsion de vie qui projette l'artiste dans des concepts ambigus et l'y attache littéralement, pris en piège dans son univers.

Travail indéfiniment intime, il est l'écho de son inspiration première.

Travail en prépondérance sur fond de couleur rouge. Fond de prédilection où s’y rapportent tous les objets ayant une connotation symbolique suggérant la couleur rouge comme le rouge d’une blessure, sang de la blessure sur le thème du cœur palpitant de l’homme, la vie …

L'autoportrait "fait à son image" qui commence, déjà, à se refléter dans des jeux de miroirs et d'éclats de verre qui deviennent visibles, dévoilant d'autres facettes, d'autres mondes, ne laissant aucun doute sur l'apparition d'une dernière période dans sa vie, où parmi toutes les périodes confondues les tons vont reprendre vie ensemble :

Le NOIR, Le BLANC, Le ROUGE et L'OR, projetés, animés, ancrés et immortalisés dans le temps qui leur reste pour se manifester.

Nous sommes en 2009...

                                                                                                  Paris, le 23 juillet 2009, Jürgen EHRE

[Biography - Jürgen Ehre - 6Ko]


 

 

 

 

Jürgen EHRE

Artiste plasticien/Künstler

 

Né à Kassel, Allemagne, en 1941

Études de décoration, art graphique et décor scénique, photographie.

Depuis 1963 réside à Paris

1963-1967 études à l'Ecole Nationale Supérieure des BEAUX-ARTS, Paris

Peinture, Lithographie, Gravure Atelier Prof. Jean Bersier et Mr. DajanMalerei,

Steindruck, KupferstichRéalise de nombreuses expositions en Europe, participations en Angleterre, USA, Asie.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

[Biography - Jürgen Ehre - 4Ko]


  - Jürgen EHRE Bildender Künstler/ Kunstmaler Geboren in Kassel, Deutschland in 1941 Studium Design, Grafik, Bühnenbild Lebt und arbeitet seit 1963 in Paris 1963-1967 Studium an der Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris: Malerei, Lithographie, Radierung Ateliers: Profs. Jean E. Bersier, Lucien Couteaud, Eugene Clairins Georges Dayez. Malere...
[Biography - Jürgen Ehre - 9Ko - 2010]


  - Jürgen EHRE Visual artist / Künstler Born in Kassel , Germany in 1941 Study design, graphic arts, scenic. Since 1963 lives in Paris 1963-1967 studied at the Ecole Nationale Superieure des Beaux-Arts, Paris: Painting, Lithograph, Etching Workshop: Profs. Jean E. Bersier, Lucien Couteaud, Eugene Clairins Georges Dayez Performs numerous exhibitions in...
[Biography - Jürgen Ehre - 11Ko - 2010]


  - Jürgen EHRE artiste plasticien/Künstler Document Page de Jürgen Ehre
Présentation de peintures,dessins,objets-sculptures et lithographies de 1963 à 2009
[Page - Jürgen Ehre - 3Ko - 2010]



Livre des invités de Jürgen Ehre

Topic
L’art est l’ombre de l’homme, jetée sur la nature… disparaissant ensemble, lampés par le soleil. Feu incorruptible dans les ténèbres de la nature et de l’esprit… L’art n’est pas un objet de démonstration, elle est une œuvre ; Elle est, ou elle n’est pas !
(Jürgen EHRE, 3 septembre 2013)




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